Dans ce chapitre l’histoire se déroule dans la Résidence parisienne de Ferdinand de la Coste, Duc d’Erebron. Gontran Trijumeaux et Icare du Chêne se retrouvent chez leur ami qui les a fait venir pour les entretenir d’une affaire de la plus haute importance.
« Gontran était assis au bar et savourait son deuxième verre de bourbon. Il venait souvent Aux Trois Perdrix car il aimait l’atmosphère qui s’en dégageait, le léger brouhaha des groupes de gens attablés autour d’un jeu de dés et d’une carafe de vin mais aussi l’odeur du bois, du fer et du cuir mêlés dans une cacophonie de sons et d’odeurs. Les Trois Perdrix se disait être un café populaire mais il était surtout fréquenté par des personnes ayant les moyens de se payer une consommation à dix sous minimum. Le qualificatif de populaire ne lui venait que du fait qu’il se trouvait proche des fortifications de Paris. »