Le temps de l’écriture

Bien des jours ont passé depuis la dernière fois que j’ai couché sur le papier les mots de Primal Mundi.

Mise à jour (1)

Cinq ont passé depuis la parution de cet article. Bien des événements se sont produits: la pandémie de COVID-19 nous a frappé, la guerre encore et toujours, la fin des illusions, la détresse psychologique.

L’inspiration est toujours là, sous le crâne, bouillante, frénétique mais les mots n’atteignent pas la main. La liaison est brisée.

Les mots hurlent, s’agitent dans leur cage de chair. Je crains le jour de leur libération. Leur impact et leur portée.

Article original.

Bien des jours ont passé depuis que mes doigts ont heurté le clavier avec frénésie, pris en tenaille entre la peur de perdre le contact avec la source de l’inspiration qui s’impose à moi et la résistance qu’oppose mon esprit en lutte pour pacifier sinon imposer de la cohérence dans le chaos des mots.

Des mots tels que destinée, devoir et sacrifice de soi. Tels que bien, mal, espoir et peur. Tous ces mots qui sont la colonne vertébrale de Primal Mundi, son essence certains diraient même.

Ce sont ces mots qu’il m’a fallu retrouver. Il me fallait renouer avec eux ce lien particulier, m’imprégner d’eux pour vous révéler l’étendue de Primal Mundi.

L’infusion est prête, il ne me reste plus qu’à déguster le breuvage sans modération.

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