Au début du mois de Novembre de cette année, s’est tenu le Salon Fantastique.
Primal: Ouverture y a été présenté et j’ai pu, en tant qu’auteur, décrire l’univers, ses inspirations, ce que je souhaite y raconter.
Au début du mois de Novembre de cette année, s’est tenu le Salon Fantastique.
Primal: Ouverture y a été présenté et j’ai pu, en tant qu’auteur, décrire l’univers, ses inspirations, ce que je souhaite y raconter.
Sabadaï se doit d’avoir une couverture digne de ce nom.
J’ai donc fait appel à des illustrateurs. L’univers de Primal Mundu les a tout de suite intéressés car c’est une occasion pour eux de montrer leur talent et de se laisser tenter par la richesse et la fraîcheur que je m’efforce d’insuffler.
Je viens de voir les premieres ébauches de la couverture de Sabadaï et je suis très enthousiaste du résultat final.
Il me tarde de vous la faire découvrir !
Chez nous, humains, le sens le plus développé est celui de la vue.
A tel point que tous nos autres sens en pâtissent.
Que ferions-nous si nous ne pouvions voir le monde, les couleurs?
Que serions-nous si le monde autour de nous n’était qu’obscurité
Voici venu le moment de l’année où les feuilles tombent, où la nature va s’endormir.
Dans le monde de Primal Mundi les origines seront révélées.
Bientôt, mon obsession pour le réceptacle parfait fit grand bruit. J’avais développé au cours des années d’errance une capacité certaine à m’emparer d’un corps, de l’user jusqu’à la trame et de m’en débarrasser comme un vulgaire chiffon. Les précédents locataires de ces corps devenaient les victimes des Récolteurs puis des Tortionnaires. Et ces deux races devinrent en quelque sorte des amies sinon des alliées et contribuèrent à ma légende.