Cultes et religions de Primal Mundi

Depuis les origines des temps, les cultes et les religions sont gravés dans l’essence même de l’humanité. La foi en une puissance suprême, invisible mais omniprésente, qui trace nos chemins, façonne nos choix et tisse le fil de nos existences, brûle au cœur de notre être. Ce besoin irrépressible de se tourner vers l’infini, de chercher un sens au-delà du tangible, est le sceau de notre humanité. Dans l’univers majestueux de Primal Mundi, cette quête trouve sa plus grande expression : le Créateur, tout-puissant et insondable, se révèle à travers une multitude de formes divines, accompagné de créatures aux pouvoirs mystiques et magiques, échos vivants de sa volonté infinie.

Voici donc 2 cultes des peuples de Primal Mundi:

La voie de la Mère

Type : Ordre composé exclusivement de femmes appelée al-dhay yemchi ola tarik al-am (Celle Qui Suit La Voie De La Mère).
Il y avait une femme qui s’éprit d’un être d’Outre-Monde. Nous les appelons le Père et la Mère. De leur union naquirent deux enfants, des jumeaux : un garçon et une fille. Il est dit qu’un démon envoyé par l’ancien maître du Père, attaqua la Mère pendant l’enfantement qui, sans l’intervention des accoucheuses et du Père, aurait trépassé. Elle survécut donc, mais le venin que lui avait infligé le démon devait la consumer et la mener aux confins de la folie avant que son cœur ne cédât. La fille et le fils devinrent les fondateurs de deux lignées qui se perdirent dans les méandres du temps.

Elyndra, Le Nephilim de la Sublime Miséricorde

Type : Monothéiste (matriarcal).
Son apparence reflète à la fois la force de l’espoir et la tendresse de la compassion.
Ses ailes d’argent déployées diffusent une douce lueur dorée qui apaise ceux qui sont en détresse, et son simple regard redonne foi à ceux qui ont perdu tout espoir.
Sa longue chevelure d’un argenté scintillant semble capturer la lumière des étoiles, tandis que ses yeux, d’un bleu doux et profond, évoquent une mer calme après une tempête.
Elyndra porte dans sa main droite un sceptre rayonnant, symbole de la guérison et de l’espoir.
À chaque pas qu’elle fait, des fleurs argentées apparaissent, émergeant de la terre, rappelant que même dans les pires épreuves, quelque chose de beau peut naître.